Le site pétrolier de Sangomar, situé au large des côtes sénégalaises, a atteint des résultats impressionnants en décembre 2024, avec une production totale de 2,96 millions de barils de pétrole brut. Ce chiffre s’ajoute à la réussite continue de l’exploitation qui, en 2024, a vu la production annuelle atteindre 16,9 millions de barils, bien au-delà de l’objectif initial fixé à 11,7 millions de barils.
Au niveau de la plateforme pétrolière de Sangomar, la production du mois de décembre a été marquée par une expédition de trois cargaisons, totalisant 2,94 millions de barils, vers les marchés internationaux. Cette performance démontre non seulement la capacité de production du site, mais aussi la compétitivité de l’industrie pétrolière sénégalaise sur la scène mondiale, selon un rapport du ministère de l’Energie.
Le bilan annuel est tout aussi impressionnant. Avec une production totale de 16,9 millions de barils pour l’année 2024, l’objectif de 11,7 millions de barils fixé en début d’année a été non seulement atteint mais largement dépassé. En termes de commercialisation, 16,4 millions de barils ont trouvé preneur, sur un total de 16,9 millions, avec 17 cargaisons expédiées au cours de l’année. Ces résultats mettent en évidence l’efficacité du site de Sangomar, qui a commencé ses activités le 2 juin 2024.
Perspectives prometteuses pour 2025
Ces succès dans la production et la commercialisation du pétrole à Sangomar sont un témoignage du potentiel du Sénégal à devenir un acteur majeur sur le marché mondial du pétrole. En plus de son impact économique direct, cette performance contribue à renforcer la position du pays en tant que leader régional dans le secteur énergétique.
Selon le ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, ces résultats confirment que le site de Sangomar est sur la bonne voie pour devenir un pilier essentiel de l’économie sénégalaise dans les années à venir.
Ledit bulletin mensuel prédit que les perspectives sont prometteuses pour 2025, avec des projets d’expansion et de nouvelles exploitations qui devraient renforcer encore davantage la production.
S. G