Le 1ᵉʳ décembre 1944, l’armée française ouvrait le feu sur ses propres soldats, des tirailleurs africains qui demandaient le paiement de leur solde. Quatre-vingt ans plus tard, alors que de nombreuses zones d’ombre persistent encore sur le déroulement des faits et le nombre de victimes, le Comité d’organisation de la commémoration à travers son président le Pr Mamadou Diouf veut inscrire cet évènement dans la mémoire collective et ressortir tous les non-dits.