L’article met en avant les complications pouvant survenir dans 15 % des grossesses, justifiant le recours à la césarienne. La sage-femme Coumba Thiam Seck souligne plusieurs obstacles à l’accès aux soins prénataux (CPN), notamment des barrières socioculturelles, géographiques, financières et le manque de personnel qualifié.
Pour améliorer la prise en charge, des stratégies sont mises en place, comme le suivi médical dès le premier trimestre pour diagnostiquer et traiter d’éventuelles complications. À partir de la 36ᵉ semaine, les femmes nécessitant une césarienne sont orientées vers un gynécologue. Elle insiste sur le fait que la césarienne est une nécessité médicale et non une malédiction, certaines femmes ne pouvant accoucher naturellement en raison de leur morphologie.